Avec une petite différence.

L’eau coule mais pas la, ou on le veut. Il fait froid et les voisins sont déménagés. Et ce matin la porte n’était pas fermé et il faisait peut près 15 degré minus. Il est hiver !

J’avais un rendez-vous d’Internet et, puisque je n’ai pas d’internet dans la maison, je suis allée au château de ville et j’ai visité une amie après. Comme ça, il faisait 9.00 heures du soir avant que je rentrais et l’eau coulait dans le bain.

Ça durait avant que le pensée me venait que je pouvais fermer le robinet central. D’abord j’ai essayé de nettoyer l’eau qui était parterre pour constater, que l’eau coulait plus en plus.

La première fois que l’eau gelait c’était dans mon cabinet. J’avais fait installer une moteur de temps, et une nuit suffisait pour laisser l’eau geler, démolir le tube et donner le ballet d’eau que je ne pouvais pas finir parce que je n’avais pas la clé !

J’avais dit au propriétaire de la maison que l’eau était gelée et elle m’a dit d’appeler le plombier. Je l’ai fait et quand l’eau a commencé à couler, la propriétaire de la maison était partie et la personne qui ouvre des portes et est payé pour ce travail devait venir pour que nous pouvions fermer le robinet.

Cette fois c’est moi qui est parti. Personne d’autre vie dans la maison depuis avant hier. Je n’ai pas pensé assez long en avant. Si j’avais changé mon idée que je devais tenir ce rendez-vous d’Internet j’aurais été à la maison quand l’eau avait commencé à couler.

Et comme ca il y aurait moins d’eau dans les plancher. Et, peut-être tout était déjà réparé. J’ai envoyé un SMS que l’eau coule à 2 personnes, parce-que je ne veux pas utiliser l’argent sur mon portable néerlandais pour téléphoner mais mon portable allemand n’a plus d’argent.

Et comme ça, la situation est comme la situation des patients en coma. On pense, que ça ne fait rien que ça gèle. On ne voit pas tout de suite le résultat. Et quand on voit le résultat, il y a tellement beaucoup des restes qui doivent être éloignés que la place n’est plus à utiliser.

Je crois, qu’il sera assez difficile de trouver le trou et ça veut dire, que je n’aurai pas de l’eau pendant ce temps. Je ne peux pas m’imaginer de faire du thé avec de l’eau d’une bouteille. Non plus de me laver avec de l’eau d’une bouteille.

Non, plutôt j’essaye de trouver une chambre d’hôtel ou je peux rester jusqu’à je peux utiliser l’eau dans ma place à vivre. J’ai besoin d’eau. Surtout quand j’écris. Je n’ai pas beaucoup de mouvements quand j’écris et boire de l’eau est pour moi le remplacement pour non bouger.

Pour les patients en coma ce n’est pas pareille. Pour les lapins c’est pareille. Ils peuvent se bouger et ont l’énergie de bouger. Le patient en coma n’a pas d’énergie de bouger. Pour lui l’eau est une substance qui lui remplit sans avoir une fonction.

L’eau que le corps physique utilise utilises pour des procès chimique (électrolyse) concernant faire des mouvements. Le patient ne peut pas se bouger. Il ne va pas faire pipi, il ne mange pas et l’amour de son cœur n’a pas besoin de l’eau pour faire couler l’amour. L’amour est l’énergie de vie, non seulement pour lui, mais pour moi aussi.

J’ai de l’eau mais, je n’ai pas assez pour me faire des pâtes, non plus pour me laver les mains ou prendre une douche. Je me rappelle Indonésie et comment ils vivent là bas.

La différence est la température, 33 degré environs. Non, c’est pas juste. C’est plus que 33 °C ! Là bas l’eau ne gèle pas pendant que tu marche du robinet jusqu’à la maison comme ici. Après 10 minutes, l’eau des lapins est gelée de nouveau et je dois le prendre et dégeler dans la maison.

C’est pour ça, que je ne veux pas rester dans cette maison quand il n’y a pas d’eau. Demain je chercherai un hôtel ou je peux rester jusqu’à la Suisse m’appelle. Je viendrai tout de suite si on m’appelle. Je serai très heureuse de quitter le froid du Schwarzwald. Mais je reviendrai souvent pour visiter les amies qui m’ont donné leur maison, leur eau, chaleur et surtout, l’amour du cœur.

De l’eau à une plus grande place dans notre vie que nous nous réalisons. Ma copine de Canada sait l’importance de l’eau. Elle a vécu sur une place ou elle devait aller chercher l’eau loin de la maison et depuis elle utilise juste l’eau qu’elle en a besoin.

Je ne suis pas comme ça. Je jette beaucoup d’eau. Même après toutes mes expériences en Indonésie. Je sais que c’est juste pour moi parce que comme ça l’eau qui vient dans l’égout n’est pas aussi sale est plus facile à nettoyer.

Si je ne mange pas et ne bois pas, je ne salis pas mon corps et c’est pareil pour le patient en coma. Il y a peu de gens qui ne donne pas de nourriture aux patients en coma et c’est dommage. Le patient ne mourra pas s’il n’a rien à bouffer.

Il ne mange pas, parce qu’on ne lui donne rien à manger. Manger commence dans la bouche. Non, avant ! Manger commence quand on senti l’odeur du repas. L’odeur fait, que les glands commencent à travailler.

Le patient en coma n'est pas offrir à manger. On lui pousse de la nourriture chimique dans le ventre sans se réaliser, que l’intestin à besoin des substances chimique qui viennent des glands qui commencent à travailler quand on senti le repas.

L’eau aussi est poussée dans le patient en coma. Cette eau ne peut pas couler. Il n’y a pas de mouvements du corps qui font que l’eau coule. Les mouvements qui font que l’eau coule puissent être faits par le patient s’il peut bouger. Pendant qu’il ne peut pas se bouger, il n’a pas besoin d’eau.

Les patients en coma, qui ont un schéma de nourriture, n’ont plus du temps pour quelque chose d’autre. La thérapie qu’il en a besoin ne peut pas être donnée si le patient doit rester au lit pour obtenir la nourriture qu’il essaye de jeter dehors tout de suite.

Le corps physique sait, de ce qu’il a besoin. Il a un système beaucoup plus génial que l’ordinateur. Le corps réagit tout de suite quand quelque chose est registré ce qu’est poison pour le corps. Vomir est une action de la dernière chance.

Si le corps ne réussi pas d’ôter le poison, le résultat sera mourir. Comme l’ordinateur. Un malware et l’ordinateur doit être apporté chez le docteur d’ordinateur qui essaye à réparer le programme original avant de détruire tout pour renouveler le programme.

Avec le patient en coma ça n’est pas possible. Détruit est détruit. Le patient veut vivre. Il n’a pas besoin des substances chimiques mais de l’amour et des mouvements qui lui donne la mémoire des mouvements qui sont toujours dans le corps des mouvements.

Ces mouvements sont différemment pour tous les patients en coma et doivent être découvert pour pouvoir mouvoir le patient guérissant. À l’éducation hpi-thérapie la découverte de découvrir le meilleur traitement est une grande partie des études.